« En effet, le serviteur commet un péché par lequel il entre au paradis ; et un autre fait une bonne action par laquelle il entre en enfer. »
Il lui a été demandé : Comment cela ?
Ainsi il a répondu :
Celui qui a commis le péché, pense constamment à cela ; ce qui lui cause la crainte et le regret de cela ; en pleure et se sent honteux en face de son Seigneur le Très Haut – à cause de cela. Il se tient en présence d’Allah, navré de douleur et avec sa tête abaissée dans l’humilité. Ainsi ce péché lui est plus salutaire que de faire des actes d’obéissance, puisqu’il lui a fait avoir de l’humilité et de la soumission – qui mène au bonheur et au succès du serviteur – dans la mesure ou ce péché devient la cause pour lui d’entrer au paradis.
Quant au faiseur de bien, alors il ne considère pas ce bien comme une faveur de son Seigneur sur lui.Plutôt, il devient arrogant et impressionner par lui-même, disant : J’ai réalisé ceci et cela, et tels et tels. Ainsi cet accroissement de lui dans l’auto adulation, la fierté et l’arrogance, deviennent la cause pour sa destruction.